jeudi 26 juin 2014

2. Arrivée en Bolivie : Salar d'Uyuni et Sud Lipez - du 25 avril au 1er mai 2014

Nous avons quitté Atacama et ses 40℃ journaliers pour commencer les choses serieuses : la Bolivie et son altiplano. Il fait froid, les routes sont pourries, les bus tout autant (sauf leur peinture extérieure...) mais ça se mérite l'altiplano...



Oh la belle pouliche...
A noter que nous Laure est fière de sa superbe couverture savane indispensable pour ne pas avoir froid dans les bus.





Un troupeau de lama. L'équivalent de nos bonnes va-vaches. Ça sert un peu à tout: pour la viande, pour la laine, à cracher sur les touristes...




Le beau gosse du troupeau.





Photo d'artiste: vitesse d'ouverture du diaphragme 1/100, grand angle, ISO 400...
Yann Arthus-Bertrand, Loïc Trivin, vous pouvez vous entraîner encore pour nous égaler...





C'est un vrai, hein! Pas un machin en plastique que l'on pose pour les touristes.
Pour ceux qui doutent encore, on a vraiment eu du bol sur ce coup-là. On s'est posé pendant 5', sans bouger, et il s'est approché, doucement, doucement.
Laure a dit qu'il m'avait sans doute pris pour un de ses congénères (avec mon grand nez rouge). Pas très gentil, tout ça.






Une petite trouvaille dans le désert. Le premier qui trouve à quoi ça ressemble gagne un apéro à la maison (adresse encore inconnue à ce jour. Si quelqu'un connait un dessous de pont manceau à l'abri du vent, nous sommes preneurs!)



Instant volé de Laure devant une lagune. Et non, pas du tout, elle n'a pas posé pour la photo. Elle regarde toujours l'horizon dans cette position là.





Dans la série "Régis est un con": Ben qui a trop avancé sur un terrain instable (sol avec du souffre en sus; je vous raconte pas l'odeur dans la voiture)




Prise de risque maximale pour vous. 30' de grimpette pour arriver tout là-haut.
Suite de "Régis est un con": en arrivant au sommet, Ben s'est rendu compte qu'il avait oublié de donner l'appareil photo au guide. Je lui ai juste répondu : " quand on n'a pas de tête, on a des jambes"!




 
Laure qui avait pris un peu trop de (feuilles de) coca. Il a fallu qu'elle calme ses nerfs, et se défoule sur quelque chose. Après avoir soulevé la jeep 5-6 fois, c'est le rocher qui lui a servi de défouloir. A coups de tête, elle l'a fendu en deux. Pauvre rocher, lui qui n'avait rien fait.
Et après, y'en a qui disent que la coca ne fait presque rien, et que c'est pas de la drogue!!



Ah on ne voit pas ça tous les jours, hein? Et un petit champ de cactus, un!




Ci-dessus, un beau spécimen. Sachant qu'il pousse d'1cm par an, il a dû voir passer quelques touristes qui posaient comme ça devant lui...





Ils appellent cet endroit le désert de Dali.
 "Ma culture limitée m'empêche de vous en dire plus sur le pourquoi du comment. Désolé." (Ben)




Photo depuis notre "hôtel de sel", excusez du peu. Tout était en sel: les lits, les tables, les chaises... Trop bien. Un petit bémol pour les toilettes en sel. C'était un peu "too much". T'y vas, t'es bien. Tu reviens, t'as les fesses toutes rouges, et elles te démangent à fond!





Souvenir du passage du Dakar 2014. Au fait, vous n'avez pas envie de changer le nom de l'épreuve?




Un p'tit Bolivien qui attend sans doute le passage du prochain Dakar. Va te falloir un peu de patience gamin...




Sont-y pas mignons?




4 géants au pays des schtroumphs. On s'est fait le tour du salar d'Uyuni avec un couple de Belges très cools. Et très grands aussi. Du coup, à côté de nous 4, les Boliviens font un poil petits...





Attention, série de photos de beaufs à venir (le guide bolivien nous a presque obligés à les faire).
1/4: l'étoile




2/4 : la double pose dans les mains




3/4 : le flambi sur son 4x4




4/4 : la feinte de l'écrasement avec la chaussure

Oui, ça se passe de commentaires... Même les plus grands cerveaux de ce monde ont droit à leur moment beauf.





Un autre spot très populaire: le cimetière de train, à la sortie d'Uyuni.
Laure a retrouvé ses reflexes d'enfant (j'ai dû la balancer pendant 20' : elle n'arrêtait pas de me répéter "encore"..."encore"). Pas prêt à avoir des gamins, moi!